C’est une idée simple qui a révolutionné notre quotidien. Le principe est classique, stocker nos données, les sécuriser sur une carte facile à utiliser. La puce comprend une mémoire et un microprocesseur qui permet de traiter les informations, il y a aussi une interface entre la carte et l’appareil capable de lire les données. La fabrication de puces et cartes électroniques est donc complexe, mais indispensable.
L’intérêt de la fameuse carte à puce
La première carte à puce (téléphone, stationnement) était dite passive, toutes les opérations étaient effectuées par le lecteur extérieur. Les applications de la carte à puce se sont multipliées au fil du temps : cartes de paiement (téléphonique) et cartes bancaires, de fidélité, d’identification (SIM, transport, badges sécurisés). Elles combinent parfois les deux comme la carte vitale. Si la lecture de la carte nécessite souvent un lecteur, la tendance est au sans contact. La carte et le terminal échangent leurs informations grâce à un signal radio. L’usage de la carte à puce s’étend aux documents administratifs (carte d’identité, passeport, permis de conduire…).
Il n’est pas rare d’en posséder plus de 10
Les puces ou les circuits électroniques sont au coeur de nombreux dispositifs de la vie quotidienne (les smartphones, ordinateurs, montres connectées, clés électroniques, la carte vitale, bancaire…). Les données qu’elles contiennent sont souvent très personnelles (informations médicales, financières, administratives…). Ces puces doivent être protégées dès leur conception et tout au long de leur utilisation contre différents types d’attaques. La carte à puce est la base de la sécurité des systèmes informatiques, elle a fait ses preuves dans de nombreux secteurs en tant que moyen de paiement, d’identification et aussi d’authentification. Aujourd’hui, à la Une du progrès, on prévoit des développements durables à la carte à puce. Elle constitue une solution particulièrement adaptée aux enjeux économiques de notre société.
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